LES KREPLERS OU RAVIOLIS AU BŒUF
Autre recette emblématique de la cuisine juive, les kreplers sont des raviolis à déguster, comme les kneidlers, avec du bouillon. L'intérêt de cette recette à la viande de bœuf bouilli est qu'elle peut faire un beau reste au lendemain d'un pot-au-feu. Et c'est justement mon cas !
LES KREPLERS
• 2 œufs • 200 g de farine . 150 g de viande de bœuf cuite
effilochée • 1 oignon • aneth • paprika • sel • bouillon
– Bien mélanger farine, œufs, sel jusqu'à obtention d'une pâte homogène faire une boule. Entourer d’un film cellophane puis déposer au réfrigérateur.
– Faire revenir les oignons ciselés, puis la viande, saler, poivrer y ajouter paprika et éventuellement l’aneth ou la coriandre (facultatif).
– Étaler la pâte finement 2 mm d’épaisseur au rouleau. Utiliser soit les moules spéciaux à pinces à petits chaussons ou à la main, former des cercles à l’aide d’emporte-pièce mettre au centre la farce, mouiller les bords et presser du bout des doigts les contours. On peut joindre les extrémités pour encore plus de tradition. Les déposer sur une plaque farinée.
– Faire chauffer un bouillon (légumes, poulet ou bœuf) et les déposer délicatement. Les sortir quand ils montent en surface. Et enfin servir dans un bouillon neuf.
STRUDEL AUX POMMES, NOIX, RAISINS SECS
Aujourd'hui je vous propose un grand gâteau classique de la cuisine juive : le strudel aux pommes, noix et raisins secs. Je ne me suis pas encore lancée dans la confection de la pâte à strudel, non pas par manque de désir, mais de temps ! Et je dois dire que, confectionné avec la pâte feuilletée du commerce, c’est autre chose, mais c’est diablement bon aussi !
Le strudel de la paix
STRUDEL AUX POMMES, NOIX, RAISINS SECS
• 1 pâte feuilletée, 100 g de beurre • 4 cuillerées à soupe de cassonade • 5 pommes fraîches et acidulées • 10 noix • 50 g de raisins secs • 50 g d’amandes pilées • 40 g de chapelure fine • 2 bouchons de rhum • sucre glace
– Mettre les raisins secs à tremper dans le rhum.
– Eplucher et couper les pommes en petits cubes. Les faire fondre à la poêle, sur feu doux, avec 20 g de beurre et les parsemer de la cassonade. Bien enrober et laisser cuire une dizaine de minutes.
– Préchauffer le four à 190°.
– Faire fondre le reste de beurre. Etaler la pâte sur sa feuille de papier silicone dans le plat du four. Badigeonner avec la moitié du beurre fondu.
– Disposer les pommes au centre de la pâte à 5 centimètres du bord. Parsemer les cerneaux de noix brisés, les raisons secs et le rhum, les amandes pilées et la chapelure.
– Enrouler la pâte, ouverture au-dessus, en soulevant le papier sulfurisé, et replier les côtés pour les fermer. Arroser du reste de beurre fondu. Mettre au four pour 45 minutes
– En cas de bronzage intensif, placer une feuille de papier alu.
– A la fin de la cuisson, saupoudrer de sucre glace et servir tiède ou froid, accompagné, ou pas, de crème anglaise, d’une boule de glace vanille ou d’un peu de chantilly.
STRUDEL AU PAVOT BLEU
Un autre gâteau de mon enfance, le strudel au pavot d'Europe centrale, cuisine juive, que j’inaugure aujourd’hui. Mon souvenir est si prégnant que j’ai parfois l’inquiétude de réaliser les recettes familiales et retarde le moment de leur réalisation. Peut-être par crainte de ne pas être à la hauteur des dons culinaires des femmes de ma famille. Le paquet de graines de pavot bleu trônait depuis six mois dans mon placard… Et bien, le strudel est fait et bien réussi ! Il n’y a, par ailleurs, aucune difficulté à trouver le pavot bleu dans toutes les bonnes épiceries et supermarchés.
Est-ce que mon originalité, pour ne pas dire ma folie douce tiennent au fait que j’ai été élevée au pavot et aux cornichons au sel ? Qui lo sa ?
STRUDEL AU PAVOT BLEU
Pour la pâte
200 g de farine • 75 g de beurre • 2 œufs • 1 cuillerée à soupe de sucre • 1 pincée de sel • 100 g de yaourt ou de crème semi-liquide
Pour la farce
100 g de graines de pavot bleu • 90 g de sucre• 25 ml de lait • 1 œuf • 1 cuillerée à soupe de jus de citron • 15 g de beurre fondu
– La veille, ébouillanter le pavot et le laisser 2 heures dans l'eau chaude à gonfler. L’égoutter dans une étamine en pressant bien et poser dans une passoire.
– Le jour dit, préparer la pâte : verser la farine avec le sucre et le sel dans un saladier, creuser un puits et ajouter le jaune d’un œuf et le beurre coupé en petits dés. Réserver le blanc d’œuf.
– Sabler la pâte du bout des doigts puis ajouter le yaourt. Former une boule et laisser reposer 1/2 heure au réfrigérateur.
– Verser le pavot, le sucre et le lait dans une casserole, faire chauffer le mélange jusqu'à ce que le sucre soit dissout. Laisser refroidir puis ajouter 1 jaune d’œuf, le beurre fondu et le jus de citron. Réserver le blanc d’œuf.
– Battre les 2 blancs d’œufs en neige et les incorporez délicatement à la préparation à l’aide d’une fourchette, en remontant le fond vers le dessus.
– Préchauffer le four à 180°C. Séparer la pâte en 2/3-1/3, abaisser la pâte sur 5 mm d'épaisseur.
– Tapisser le fond d’un moule carré beurré, d’environ 18 cm, avec la plus grande pâte en recouvrant les bords. Garnir de la farce au pavot puis poser la seconde abaisse sur le dessus. Souder les bords. Délayer le jaune d’œuf battu restant dans 1 cuillerée à soupe d'eau et dorer le gâteau au pinceau.
– Enfourner et cuire 15 minutes à 180°C, puis baisser le four à 160°C et continuer la cuisson pendant 30 minutes.
Deux possibilités : incorporer à la farce quelques raisins secs gonflés auparavant dans de l’eau ou du rhum tiède, et 3 cuillerées à soupe de confiture d'abricot.
Vous pouvez aussi strier régulièrement le gâteau avant cuisson, avec un couteau pointu, de façon à marquer le futur découpage.
KNEIDLERS A LA FARINE DE PAIN AZIME
Plat traditionnel de la cuisine juive, le bouillon de la poule ou de bœuf est servi avec des boulettes de farine de pain azime.
• 250 g de farine de pain azime (épiceries spécialisées et supermarchés) • 5 œufs • 3 cuillerées à soupe d’huile • ½ verre d’eau • sel et poivre
– Dans un bol, battre les œufs bien mousseux, incorporer la farine, l’huile, l’eau, le sel et le poivre. Bien battre le tout et laisser reposer 1 heure. La préparation s’épaissit.
– Former de petites boulettes avec les paumes des mains légèrement mouillées, et les jeter dans 2 l d’eau bouillante dans une casserole assez large. Quand elles remontent à la surface, elles sont cuites et gonflées. C’est très rapide. Récuperer avec une écumoire.
A servir tel quel avec le bouillon de bœuf ou un bouillon de poule.
KREPLERS
RAVIOLIS AU BŒUF
La pâte
• 250 g de farine • 1 œuf • 1/2 verre d'eau • sel
La farce
• 250 g de reste de bœuf bouilli • 2 foies de poulets • 1 gros oignon • graisse d'oie ou de poulet • huile • sel et poivre
– Hacher le bœuf bouilli. Faire revenir à la poêle, dans la matière grasse, les foies de volaille, l'oignon coupé fin. Hacher ensemble le tout, vérifier l'assaisonnement.
– Etaler la pâte au rouleau sur 1/2 cm d'épaisseur, couper des carrés de 5 cm de côté. Placer au milieu de chaque carré une petite boulette de farce. Replier le triangle et pressant bien les bords.
– Faire bouillir de l'eau salée avec une cuillerée à soupe d'huile. Mettre les kreplers un par un dans l'eau, laisser cuire 10 minutes et égoutter.
Servir avec du bouillon.
FERFELS OU PÂTES FRAÎCHES GRILLÉES
Tradition, tradition, quand tu nous tiens... L'ABC de la cuisine juive, les ferfels pâtes maison très facile à réaliser, peut être pus faciles en plaques de petits carrés coupés au couteau.
FERFELS
• 225 g de farine • 2 œufs • sel et poivre • 1 oignon
– Mélanger la farine, les œufs et une pincée de sel dans une jatte. Ajouter peu à peu 1 à 2 cuillerées à soupe d'eau pour former une pâte.
– Continuer à pétrir la pâte jusqu'à ce qu'elle ne colle plus aux mains. Ajouter un peu de farine, si nécessaire. Laissez reposer au moins 30 minutes dans une jatte couverte.
– Sur une surface légèrement farinée, rassembler le pâton. Laisser au moins 1 à 2 h à température ambiante, pour qu'il sèche un peu.
– Etaler la pâte au rouleau à pâtisserie et former des petits carrés réguliers, au couteau, d’une taille de 1 cm de côté. Les fariner légèrement et les disposer sur une plaque à pâtisserie. Les passer au four chauffé à 160°, pendant 10 minutes. Les laisser refroidir, et les enfermer dans un récipient hermétique où elle se conserveront. En prélever 50 à 70 g par personne, suivant l’appétit, pour le repas.
– Pour faire cuire les pâtes, porter de l'eau à ébullition. Faire légèrement dorer à l’huile, dans une cocotte, 1 oignon émincé. Ajouter les pâtes, les couvrir d’eau et laisser cuire doucement en ajoutant de l’eau chaude au fur et à mesure jusqu’à cuisson complète, pendant 6 à 8 minutes.
Servir en arrosant avec la sauce des boulettes. Ces pâtes accompagnent très bien d’autres plats comme les schnitzels, en leur ajoutant du beurre, le bœuf-carottes, le poulet, les rôtis, en arrosant de leur sauce.
UN REPAS YIDDISH
Tout d’abord, nous allons confectionner des pâtes fraîches grillées, les ferfels qui accompagneront le plat de résistance. Dans le cas de la cuisine juive, plutôt roborative, nous ne savons pas si c’est nous qui résistons à l’adversité et essayons de tenir jusqu’au repas suivant ou si c’est la viande qui nous résiste… Mon grand-père Max qui était boucher disait, en parlant de sa viande : « Elle est ferme, mais elle est bonne ». Depuis sa disparition, je ne peux manger de viande molle, comme le filet de bœuf par exemple ! Oy a broch !
Nous préparerons ensuite un bouillon de poule, avec poireaux, carottes, navets oignon et céleri en branche, que nous servirons avec l’un des accompagnements possibles : les kneidlers, boulette de farine de pain azyme (sans levain), vendue dans toutes les bonnes épiceries orientales, pain de shabbèss, de paisser (ou pessa’h), de fêtes en général, les kreplers, raviolis à la viande de bœuf, et une association gros haricots blancs et riz dont mon grand-père Schlome qui était tailleur pour dames raffolait et appelait d'un terme générique "bouillon lochen". Qui est, en réalité un bouillon avec des pâtes fraîches en forme de tagliatelles.
Les kreplers
Nous continuerons le repas avec des boulettes de viande hachée accompagnées des fameux ferfels, arrosés de la sauce de la viande, telles que ma mère Dora les servait le jeudi midi, jour de repos scolaire, de mon temps (que les moins de vingt dents ne peuvent pas connaître).
Et, pour finir, goûtons un bubbele, dont la recette est ci-dessous, galette de farine de pain azyme, saupoudrée de sucre, bien entendu, et qui, à un autre moment du repas, aurait pu être servie salée.
Je vous décris là un dîner que ma grand-mère Razzle aurait pu servir. « Quequ’chousse legeï », comme disait mon grand-père… Et pour commencer, une petite tartine de gakte leibe ou foies de poulet hachés.
Si vous arrivez à bouger, après ce repas, faites-moi part de quelle manière, j'essaierais aussi ! Shalom.
BUBBELE
GALETTE DE FARINE DE PAIN AZYME
• 6 cuillerées à soupe de farine de pain azyme • 6 œufs (1 par personne) • 2 cuillerées à soupe de sucre en poudre • 1 cuillerée à soupe d’huile • sel • 30 g de beurre
– Travailler les jaunes d’œufs avec le sucre. Ajouter l’huile et la farine.
– Monter les blanc en neige avec une pincée de sel. Incorporer au mélange.
– Faire fondre la moitié du beurre dans une poêle et verser la pâte. Laisser dorer de chaque côté en veillant à ce que l’intérieur soit bien cuit. Ajouter le reste de beurre au moment de retourner la galette.
Servir chaud saupoudré de sucre.
POT-AU-FEU
Henri IV et moi sommes nés tous deux à Pau, et j’ai mis ce blog sous l’égide du "Poulet et ses copains de basse-cour". Je vous ai déjà donné la recette de la poule-au-pôt, du poulet sauce suprême et de la poule farcie. Pour rester dans le domaine du bouillon, le pot-au-feu, ce n’est pas mal non plus tous les dimanches. D’abord les quatre viandes, ensemble ou au choix : le gîte-gîte et le paleron, viandes gélatineuses ou pas, mais maigres, le plat-de-côte, morceau gras, très goûteux parce quand os il y a, goût il y a, et le jarret de veau, viande bouillie préférée des enfants car moins filandreuse. Sans oublier les os à moelle.
N’ayez pas peur de faire votre pot-au-feu avec tous ces morceaux parce que le plat a ceci de pratique qu’au moins deux recettes peuvent être confectionnées avec les restes : le hachis Parmentier et le bœuf miroton. Comme vous le savez déjà, j’en suis sûre, il y a deux façons de faire cuire cette recette : si vous mettez la viande à l’eau froide, vous aurez un bouillon de meilleur goût, quand la mettre à l’eau chaude vous donne une meilleure viande. Quant aux légumes, vous pouvez ajouter potiron, mis à cuire 30 minutes avant la fin, ou chou blanc ou frisé, auparavant blanchi. Pour moi, ça sera une autre fois.
Voici la recette que je vais servir ce dimanche qui s’annonce bien froid à Paris. Je sers le bouillon à part, avec dans chaque assiette une carotte et des kneidlers, petites boulettes de farine de pain azime dont la recette suit. A vos faitouts !
POT-AU-FEU
• 1 kg de gîte-gîte • 500 g de plat-de-côte • jarret de veau • 4 os à moelle • 2 poireaux • 500 g de carottes • 250 g de navets • 4 pommes de terre• 1 branche de céleri • 1 petit morceau de gingembre • 2 oignons • 3 clous de girofle • 1 feuille de laurier• 1 branche de thym • 2 branches de persil • gros sel • poivre en grain
– Laver la viande et les os. Monter à ébullition une grande quantité d’eau dans un faitout, autrement nommé pot-au-feu, très légèrement salée de 2 cuillerées à café de gros sel. Mettre la viande à cuire. Saler les extrémités des os avant de les placer dans le fait-tout pour éviter la perte de la moelle.
– Monter à ébullition et écumer longuement. Laver et éplucher les poireaux, les carottes, les navets, les oignons, le gingembre, le persil et le céleri, et les verser entiers dans le faitout, après avoir enfoncé les clous de girofle dans l’extrémité des oignons. Ajouter une dizaine de grains de poivre, couvrez et laisser cuire, après ébullition, pendant 3 heures.
– Eplucher et laver les pommes de terre et les mettre à cuire 1 heure avant la fin de la cuisson du plat.
Une recette simple et de bon goût à servir en deux plats, le bouillon avec les carottes et les kneidlers, d’une part, et la viande avec les légumes, d’autre part . Au choix, du gros sel servi à part, de gros cornichons à la russe (sucrés) ou à la juive (salés).
KNEIDLERS
• 250 g de farine de pain azime (épiceries spécialisées et supermarchés) • 5 œufs • 3 cuillerées à soupe d’huile • ½ verre d’eau • sel et poivre
– Dans un bol, battre les œufs bien mousseux, incorporer la farine, l’huile, l’eau, le sel et le poivre. Bien battre le tout et laisser reposer 1 heure. La préparation s’épaissit
– Former de petites boulettes avec les paumes des mains légèrement mouillées, et les jeter dans 2 l d’eau bouillante dans une casserole assez large. Quand elles remontent à la surface, elles sont cuites et gonflées. C’est très rapide. Récuperer avec une écumoire.
A servir tel quel avec le bouillon de bœuf ou un bouillon de poule.
DERNIÈRE HEURE
Je vous promets un pot-au-feu très réussi en mettant la viande à l'eau chaude. Avec une viande de qualité moyenne, et juste 3 heures de cuisson, j'ai obtenu une viande très savoureuse et fondante, et un bouillon fort en goût. Il n'y avait pas grand risque pour le bouillon, il ne risquait pas d'être fade avec ce choix de viande avec os et en ajoutant des os à moelle.
BORTSCH OSEILLE OU BETTERAVE
Après le bortsch à la russe, au chou et à la viande, je vous donne ici deux autres recettes typiques de la culture culinaire juive, le bortsch à l’oseille et le bortsch à la betterave. Faites de peu et, bien qu’issues de pratiques ancestrales, elles sont un exemple de la légèreté exigée aujourd’hui, et je dirais même plus, si je m’appelais Dupond(t), de modernité.
Le principe du bortsch, qu’il soit à l’oseille ou à la betterave, est une soupe de légumes très fraîche, simple comme bonjour, à laquelle on ajoute des pommes de terre entières et de la crème aigre, remplacée le plus souvent, pour en simplifier la recherche, d’une crème fraîche mélangée à du jus de citron.
Je connais, depuis trente ans, dans le jardin de mes amis Caty et Jean-François, un petit carré, que dis-je, un plant de 60 cm sur 20, caché parmi les herbes où je sais trouver de l’oseille. Elle ne demande rien à personne mais elle est fidèle. Et moi, sauvage aussi, je l’ai souvent sacrifiée en l’accommodant en omelette le dimanche soir, de retour de week-end, ou en bortsch, grand nettoyeur d’intestins devant l’éternel, malmenés qu’ils ont été durant deux jours.
BORTSCH À L’OSEILLE
• 1 botte d’oseille • 4 pommes de terre • 1 morceau de sucre • 1 cuillerée à soupe de jus de citron • 1 petit pot de crème fraîche • sel
• Laver et ciseler l’oreille. Laver et éplucher les pommes de terre.
– Plonger l’oseille dans l’eau bouillante (1,5l) salée en ajoutant un morceau de sucre et les pommes de terre entières. Laisser cuire 30 minutes.
Servir avec la crème battue au jus de citron. Peut se déguster froid, l’été de préférence.
BORTSCH À LA BETTERAVE
BORTSCH À LA BETTERAVE
• 300 g de betteraves crues • 1 côte de céleri • 4 pommes de terre • 1 oignon • 1,5 l de bouillon de poulet maison • 1 petit pot de crème fraîche • huile neutre • sel et poivre
– Laver, éplucher et couper la betterave en dés. Laver et éplucher les pommes de terre. Laver et détailler le céleri, éplucher et émincer l’oignon.
– Faire revenir dans une grande casserole ou faitout les légumes détaillés et les pommes de terre entières. Verser le bouillon, sel et poivre. Laisser cuire après ébullition pendant 30 minutes.
Servir avec la crème fraîche battue au jus de citron.